Chloe Alexandra Thompson
<span class="not-set">(non défini)</span>
Le minimalisme sonore de Chloe Alexandra Thompson entraîne l'auditeur.trice dans un état de suspension et emplit la pièce de fréquences subtiles générées à travers le logiciel Pure Data, différents instruments électroniques ainsi que sa propre voix.
Focalisée sur la performance live, Thompson a mis sur pied une combinaison bien à elle d'éléments psychoacoustiques, d'enregistrements de terrain manipulés en direct et d'isolations de fréquences afin de créer de puissants effets physiques. Fascinée par les l'expérimentation sonore, Thompson collabore fréquemment avec d'autres artistes pour explorer de nouveaux champs créatifs. Thompson est actuellement Directrice de la Technologie au centre Open Signal de Portland, lieu focalisé sur les arts numériques. Matthew Edwards, quant à lui, combine différentes pratiques en intégrant arts plastiques, production musicale, cinéma, performance et réalité virtuelle au sein de son travail. Il est fondateur de la salle de spectacle Xhurch, lieu-clé de l'innovation musicale de Portland, a co-dirigé la série de musiques et de performances M.A.S.S. et a mis sur pied le collectif d'artistes Portland Immersive Media Group ainsi que le lieu de création numérique Liminal Passage. Edwards développe par ailleurs un programme focalisé sur les Médias Immersifs au sein du centre des arts numériques Open Signal et enseigne les Réalités Virtuelles et Augmentées au sein du Portland Community College.
Pour leur performance en tant que Morié à MUTEK, la spatialisation sonore multi-canal de Thompson rencontrera les univers visuels immersifs de Edwards, altérant l'espace-temps des lieux par leur conversation alchimique.
Présentée dans le cadre du projet Amplify.
L’initiative Amplify est dirigée par le British Council, MUTEK et Somerset House Studios, avec le soutien du Conseil des arts du Canada.
Projets récents
Morié (2019)
Le plus
When Thompson performed her work Morié as a subwoofer-only composition at Portland's Variform Gallery, she used synthesis to tune the piece to over 120DB, effectively turning dishes in the kitchen into snare drums and popping balloons with bass